Qui veut jouer au détective à Monestiés, cité millénaire au cœur de la vallée du Cérou ?

Percez les secrets des vieilles maison en pierre pour résoudre les énigmes et retrouvez les gardiennes du trésor.

Suis Carl à la découverte de sa ville !

Le petit mineur t’emmène sur les lieux historiques de Carmaux avec un livret de jeu spécial enfant. Pars à l’aventure avec lui, résous les énigmes, et gagne des cadeaux dont le badge de Carl !

Le livret est à retrouver gratuitement au point d’accueil touristique de Carmaux, place Gambetta.

L’église de Notre-Dame de la Gardelle a été construite au XIV^e ou XV^e siècle dans un style gothique méridional. Abritée dans un cimetière de Villeneuve-sur-Vère, son principal attrait se situe dans ses fresques murales réalisées par Nicolaï Greschny.

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Le domaine de la Verrerie vous accueille pour un pique-nique ou un goûter sur l’herbe à l’ombre des hauts arbres remarquables. En bordure de ruisseau, un joli pont orne cet espace de verdure qui accueille le musée/centre d’art du Verre.
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Le parc du Cérou a été construit par la municipalité dans les années 30, durant la période d’embellissement de la ville. C’est un lieu apprécié en bord de berge proche de l’ancienne cité ouvrière. Détail

Initialement appelé parc de la Sérinié, il fut créé dans les années 30.  En 1935, puis en 1937, un buste de Jean Jaurès et un monument aux morts sont respectivement inaugurés pour parachever le nouveau poumon vert de la ville de 3,6 hectares.
Sa restauration s’est terminée récemment et le monument aux morts a été classé aux monuments historiques.
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Créé par la Société des Mines de Carmaux dans les années 30,  le parc du Candou a été restauré en 2005.

De nombreuses manifestations estivales rendent ce site à la fois vivant et reposant (festival de musique, national de pétanque…).

Ce poumon vert d’un peu moins de 3 hectares, contient des arbres remarquables (platanes centenaires).

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Arrêtez-vous un instant à Monestiés. Le charme de cette « circulade » vous emportera. Classé parmi les Plus Beaux Villages de France, c’est la rencontre d’un village médiéval pittoresque.

Cette cité millénaire, installée au creux d’une boucle du Cérou, vous offre une balade paisible à travers des ruelles médiévales, en enjambant le pont de Candèze (XII^ème siècle), en franchissant la porte de Candèze qui est l’un des derniers témoins des vieilles fortifications.

Tout le monde en parle dans la région : un mystérieux grondement fait trembler le territoire.
Il résonne dans les vallées et trouble les cours d’eau ! Le Pays Albigeois a besoin de vous !

Amis aventuriers, avec l’aide du Drac, éclaircissez ce mystère ! Ce diablotin légendaire et espiègle vous accompagnera dans votre quête. Cela fait des siècles qu’il rôde dans la région ! Il aurait d’ailleurs des informations sur la potentielle origine du mystère. Il a repéré les lieux où les grondements s’entendent le mieux. Il faut s’y rendre au plus vite. Il sollicitera les créatures légendaires locales pour t’aider à résoudre cette énigme !

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« Sur ces collines, les ancêtres de Balzac ont labouré la terre. »

Cette phrase fut gravée en 1936, par décision du Conseil Départemental du Tarn, sur un rocher érigé au carrefour de la route départementale 53 et de la voie secondaire conduisant au village de Canezac et au hameau de la Nougaryé (Commune de Montirat).

C’est là en effet, sur le plateau du Ségala et dans la vallée du Viaur, que se trouve le berceau familial de l’auteur de la « Comédie Humaine ». La souche ancestrale plonge ses racines parmi les nombreux Balssa, Balsan, Balsa, Balza ou Balzac établis dans la vallée à la veille de la Révolution française.

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Poussez la porte des églises et des chapelles, certaines d’entre elles vous dévoileront des trésors. Ici et là, Nicolaï Greschny vous livre son art, des fresques et icônes d’inspiration byzantine recouvrant une partie ou la totalité de ces édifices. Nicolaï Greschny est un des plus grands fresquistes contemporains, un maître de l’art byzantin.

Son œuvre vous provoque, vous fascine, vous incite au voyage et à la méditation. La beauté des icônes et les couleurs puissantes forcent la contemplation.

Si vous souhaitez poursuivre le voyage au travers des fresques de Greschny, rendez-vous dans les Monts d’Alban. A l’église d’Alban, elles ornent la voûte et illustrent les évangiles.

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Pour plus de renseignement

Situé au cœur du village de Pampelonne, le petit jardin est un havre de paix, haut en couleurs, riche en surprises, débordant de fleurs, d’abeilles et d’oiseaux…

Les endroits pour s’asseoir et profiter du jardin sont nombreux, et pendant les journées de portes ouvertes il est également possible de déguster un thé à la menthe ou  un café accompagné de délicieux cup-cakes  anglais ou des somptueux gâteaux romains.
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Cet espace vivant est composé d’ouvrages écrits par Jean Jaurès, d’autres sur le célèbre tribun (légués par un descendant d’Auguste Canac, ami et compagnon de route de Jean Jaurès à la commune), d’un fonds sonore faits de lectures de textes écrits par Jaurès, des photos…

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Situé dans une maison de maître du XV^ème siècle, le musée accueille les toiles de Martine Véga et Francisco Bajen, réfugiés espagnols. Découvrez les œuvres de ces deux artistes à travers une exposition thématique renouvelée chaque année.

En 2024, l’exposition du musée s’inscrit dans la thématique départementale Mouvement : quand sport et culture font équipe. Supporteur du rugby à XV, Francisco Bajèn a représenté de nombreuses pratiques sportives et ludiques : sports collectifs, cyclisme, billards, jeux de cartes… Une partie des œuvres exposées répondront à la thématique 2024 du département Tarn.

Poussez la porte de la chapelle St Jacques et retenez votre souffle : le trésor de Monestiés se trouve ici !

Depuis 1774, cet ancien hôpital sur la route de St jacques de Compostelle abrite une œuvre exceptionnelle, classée Monument historique, représentant les 3 dernières scènes de la Passion du Christ. Cet ensemble remarquable est composé de 20 statues en pierre calcaire polychrome, commandées par Louis d’Amboise en 1490.

Imaginez-vous le charbon surgir de terre en retrouvant le passé minier et ses machines  !

L’extraction du charbon dans le bassin carmausin a cessé il y a plus d’une vingtaine d’années. Malgré cela, le territoire reste encore fortement marqué par ce passé industriel.

Le Parc des Titans en est la preuve. Il abrite d’anciennes machines de l’époque minière : des camions dont les roues vous dépassent en hauteur, un convoyeur à charbon avec ses tapis roulants, des pelleteuses…

Vous serez forcément impressionnés par la démesure de ces engins, et par le point de vue sur le gouffre de l’ancienne mine à ciel ouvert.

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En voilà une bien belle demeure, au sommet d’une colline, qui malheureusement aujourd’hui est en ruines. Le château se dresse devant vous sur la petite commune de Combefa. Découvrez la passionnante histoire du Château de Combefa devenue résidence d’été des évêques d’Albi. Son passé relie Albi, Combefa et Monestiés.

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Et si l’on vous contait l’histoire de ses villages oubliés qui furent longtemps peuplés puis soudainement désertés. C’est l’histoire du vieux Mirandol, du vieux Tanus et du vieux Jouqueviel.

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Au fil des siècles, les hommes ont tenté d’apprivoiser l’eau, les rivières, avec plus ou moins de succès… Aujourd’hui, les ponts qui traversent le Ségala Tarnais racontent une histoire voire des histoires…

Il était une fois des ponts romans, des passerelles, un viaduc !

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Sur le territoire du Ségala Tarnais comme partout, à la croisée d’une traverse, c’est bien souvent un crucifix qui est la scène la plus souvent représentée. Mais outre le Christ en croix, une multitude d’autres représentations peuvent se présenter à vous.

Vous découvrirez des croix en bois, en fonte, en pierre, en fer…et surtout vous aurez la surprise d’en faire tourner quelques-unes « dites à bras mobiles » ou « croix tournantes » comme celle de Lagarde Viaur.

Située en bordure du Viaur, rive gauche, la fontaine de Frexaïre fut, au début du XIX^ème s., le théâtre d’un fait dramatique. Le 8 juillet 1818, une jeune fille de La Calquière qui venait y puiser de l’eau découvrit le corps sans vie d’une servante de ferme, Cécile Soulié. Accusé à tort de ce crime par strangulation, Louis Balssa, l’oncle le plus jeune d’Honoré de Balzac, fut exécuté à Albi le 16 août 1819.

A proximité du Musée-mine départemental, « la Maison du Polonais » est un témoin de l’importance de l’activité minière dans le bassin carmausin.

Construite après la 1^ère Guerre Mondiale, elle se trouve au cœur de la Cité minière des Homps. Cette cité avait pour but de loger la main d’œuvre étrangère venue étoffer les rangs des mineurs.

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Ce n’est pas la petite Maison dans la prairie mais presque…Vous avez certainement déjà aperçu des petites cabanes des champs, très présentes dans la campagne du Ségala Tarnais ; on les appelle les oustalous et ils témoignent encore de la vie rurale du début du XIX^ème siècle.

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Le temps de votre voyage, vous pourriez voir, seul, au milieu d’un champ, dans un jardin ou au coin d’une maison, une architecture un peu atypique et originale. Il est aussi un emblème de la région Midi-Pyrénées et un circuit lui est dédié dans le département du Tarn : c’est le pigeonnier.

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Meunier tu dors, ton moulin, ton moulin va trop vite, Meunier tu dors, ton moulin, ton moulin va trop fort…C’est une invitation à l’exploitation des rivières et de ses moulins…

Au fil du Cérou, de la Vère et du Viaur, vous remarquerez de nombreux moulins. Ils marquent l’histoire et le temps. Grâce à l’utilisation de l’eau, ils ont pu nourrir les hommes. A l’époque, tout homme se rendait au moulin pour faire sa farine, son huile ou rouir le chanvre… parfois les moulins étaient scierie, foulon ou filature..

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Et si l’on remontait au temps des lavandières. Rendez-vous comme elles aux lavoirs, mais non pas pour rincer votre linge, plutôt pour voir comment elles s’y prenaient. Les lavoirs sont aussi des témoins de l’histoire locale.

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Il était une fois La Garde du Viaur… c’est ainsi que nous pourrions commencer la présentation de cette citadelle. Dans ce village-forteresse, maints vestiges de sa riche histoire et toute son harmonie architecturale ont été préservés au fil des siècles.

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La « petite cathédrale » édifiée sur les communes d’Albi, Lescure d’Albigeois et Cagnac-les-Mines s’appelle Notre-Dame de la Drèche. Ce nom émane du dialecte albigeois : « Nostro Damo de la Dresto », Notre dame de la Côte Droite c’est-à-dire le chemin droit et raide pour y accéder. De vieux actes du XVIII^ème siècle l’appellent « Beata Maria de Dextera ».

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Une histoire entièrement liée à celle des Planques est à vous conter ici…

Au début du XIX^ème siècle, les habitants de Las Planques ayant progressivement quitté le village pour s’installer sur les plateaux, Fournials, hameau de la commune de Tanus devient lieu de culte principal.

En 1860, peu après la construction de l’église Saint Salvy des Fournials, le mobilier de la chapelle romane de Las Planques y fut transféré et notamment le retable datant du XVII^ème siècle.

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Posé sur les flancs de la vallée, aussi léger qu’une aile, le viaduc du Viaur est une belle réalisation de l’homme. A 116 mètres au-dessus du sol, il enjambe le Viaur avec majesté. Avec ses poutres d’acier, ses arches et ses rivets, cette dentelle métallique du XIX^ème siècle conçue pour porter la ligne de chemin de fer Toulouse-Rodez, est une œuvre issue du génie de Paul Bodin.

Le Viaur était une véritable frontière. Vous comprenez pourquoi dans la beauté du paysage des gorges du Viaur, près de Pampelonne, se dresse, austère et majestueux, le donjon du château de Thuriès.

C’est certainement aux temps de la féodalité que le château de Thuriès a vu le jour. Un village aurait été construit également au XIII^ème siècle. Hélas aujourd’hui nous n’en voyons aucune trace.

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A travers les gorges du Viaur, vos pas vous mèneront jusqu’aux Infournats, chapelle abritant une madone en bois doré du XIII^ème siècle.

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La découverte de l’église des Planques se mérite car, bâtie sur un promontoire rocheux, elle est uniquement accessible à pied. Le bel édifice roman domine la rivière et la vallée du Viaur.

Construite entre le XI^ème et le XIII^ème siècle, Notre-Dame de Las Planques doit son nom à une passerelle qui permettait de franchir la rivière du Viaur pour aller de Tanus à Pampelonne. En occitan, « plancas » signifie les planches.

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Pampelonne datant du Moyen-Âge fut pendant longtemps un gros bourg agricole où se déroulaient cinq foires annuelles. Eustache de Beaumarchais, Sénéchal de Toulouse, en fit une bastide royale au cours du XIII^ème siècle. Son nom rappelle celui de Pampelune en Navarre espagnole où Beaumarchais avait été gouverneur.

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Rendez-vous en terre d’histoire ! Empruntez la machine à remonter le temps et concentrez-vous sur la belle épopée industrielle et sociale de Carmaux. Un passé noir comme le charbon est gravé dans les mémoires mais aussi dans le sol. Depuis le XIII^ème siècle, les hommes ont extrait le charbon dans les mines. Son développement s’est fait surtout au XIX^ème siècle pour alimenter l’industrie du verre.

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Le village pittoresque de Villeneuve-sur-Vère, tout en pierre blanche, est bâti sur un éperon rocheux naturel. Installé au cœur de la Vallée de la Vère qui offrait un paysage de chanvre, très prisé pour les cordages de la marine royale, il a été gouverné par des vicomtes.

Villeneuve-sur-Vère n’a pas été épargnée par les grands bouleversements de France comme la Croisade des Albigeois et la Guerre de Cent Ans. C’est au lendemain du passage de Simon de Montfort que « Villeneuve la Nouvelle » sera construite et deviendra cité prospère.

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Pour cause de travaux de réhabilitation, le Musée du Verre sera fermé au public pendant plusieurs années. L’objectif est de redonner vie au Domaine de la Verrerie à l’horizon 2026.

En attendant la réouverture, le Musée du Verre Nomade propose un programme de rencontres « hors les murs » pour découvrir le verre autrement, dans d’autres lieux.

Installé au cœur du Domaine de la Verrerie, dans une ancienne Verrerie Royale du 18^e siècle, le Musée du Verre est fermé au public pour plusieurs années.
Les bâtiments de ce site patrimonial majeur nécessitent une restructuration.
Le Domaine de la Verrerie existe depuis plus de 250 ans.
En 1754, il couvre 400 hectares et comporte de nombreux puits de mines. Gabriel de Solages obtient l’autorisation du Roi d’y faire construire une verrerie, ce sera la première Verrerie Royale au charbon de terre du Sud-Ouest. Celle-ci fonctionnera jusqu’en 1856.
La Verrerie Sainte-Clotilde prendra le relais non loin, près du chemin de fer, de 1862 à 1931.

Musée-mine départemental : une nouvelle mine de sensations !
Venez découvrir ce nouveau musée, ancré dans son époque avec l’utilisation de nouvelles technologies pour le son et l’éclairage, une scénographie plus moderne pour accueillir le visiteur et le replonger dans la vie au quotidien des mineurs. Le musée ne renie pas pour autant ses racines avec ses spécificités et son atmosphère si particulière.

Nouvel accueil, nouvel espace boutique, parcours visiteur repensé, et galeries de mine rénovées : c’est le musée à visiter en 2023 !

La Cabano, village reconstruit de la 1^ère moitié du XX^ème siècle, fait revivre les métiers d’autrefois. Grâce à des scènes de vie, il permet au visiteur de retrouver ses racines, sa culture, … Les souvenirs et les émotions surgissent.

Le Clap Ciné de Carmaux se situe au centre ville, sur l’avenue Jean Jaurès.  Il se compose de 4 salles équipées de sièges « confort ».

Trois salles sont équipées en numérique 3D.

La programmation propose à la fois des grosses productions, des films familiaux et des films d’auteur à des prix abordables…

Le cinéma propose également une formule Clap-anniversaire, pour l’anniversaire de vos enfants.
 
 
 
 
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